La pomme de pin a été toujours pour moi un fruit fascinant : Avez-vous remarqué que même après des années loin de l’arbre, elle réagissait encore aux variations de chaleur et d’humidité, s’ouvrant et se refermant au grès du temps et des saisons.
La vie semble toujours l’habiter même si plus rien ne l’alimente … en apparence ❤
Yule
4-12 – Le Blé Germé de l’Avent

Il est une tradition que j’aime beaucoup au moment des fêtes de Yule… Celle du Blé germé de l’Avent.
Vous connaissez peut-être cette tradition sous le nom de “Blé de Ste Barbe”…
3-12 – L’Arbre de Yule

Entre 2000 et 1200 avant JC, on trouve déjà la trace d’un arbre sacré dans les anciennes traditions païennes… Les celtes avaient adopté un calendrier basé sur les cycles lunaires où chaque lunaison était représentée par un arbre sacré à leurs yeux.
Tout naturellement, le mois du solstice d’hiver, mois de la renaissance du Dieu Soleil fut associé à l’arbre représentant l’enfantement et la vie… l’Epicéa !
2-12 – Le Partage

En ce joli mois de décembre, les températures baissent, le temps va se faire de plus en plus rude et je pense ce matin, à tous ceux qui n’ont pas la chance que nous avons… pouvoir se mettre à l’abri du froid, avoir un toit au dessus de la tête, manger à sa faim ! Parce que le temps de l’avent est aussi celui de l’aide et du partage et que, dans nos vies confortables, où nous voulons toujours plus, nous ne réalisons même plus que d’autres n’ont rien !

1-12 – Sa Majesté Le Cerf

” Voici donc l’animal porteur d’une forêt de symboles, tous apparentés au domaine obscur de la force vitale.
Et d’abord ses bois, par lesquels la nature fait signe … cette ramure dont le nom, la forme et la couleur semblent sortir des arbres et que chaque année élague comme un bois sec, chaque année les refait comme pour donner la preuve visible que tout renaît, que tout reprend vie…
Par la chute et la repousse de ces os branchus qui croissent avec une rapidité végétale, la nature affirme que sa force intense n’est qu’une
perpétuelle résurrection, que tout doit mourir en elle et que pourtant rien ne peut cesser. »
(Pierre Moinot, Anthologie du cerf, 1987)

